Interview: Armin Pascal

Est-ce plus difficile de se procurer ces nouveaux composants ?
Non, cela ne fait pas de différence.

Quelles pièces faut-il acheter pour un VEGAPULS 64 ?
Sur les parties visibles de l'extérieur, il y a le boîtier, qui est fabriqué spécialement pour nous.
Nous assemblons intégralement les circuits imprimés dans notre usine de Schiltach (Allemagne). Et naturellement, il y a tous les raccords process en inox, etc. Ceux-là proviennent également de fournisseurs externes.

D'où proviennent les éléments achetés ? De fournisseurs de la région ?
Tout à fait. Pour les éléments en inox, cela fonctionne très bien, puisque le fournisseur « Grieshaber Präzision » est une entreprise qui fait partie du groupe Grieshaber. Pour les boîtiers, nous nous approvisionnons également en Forêt Noire. Dès qu'on passe aux composants, les choses sont tout à fait différentes. Là, nous avons naturellement les fabricants américains et asiatiques qui dominent le marché.

Pour VEGA, qu'est-ce qui est important chez un fournisseur ?
Nous recherchons la même chose que notre service commercial : établir une relation de partenariat à long terme avec nos fournisseurs, ainsi, le prix est un facteur important, mais ce n'est pas le seul critère pour VEGA.
Lorsque nous achetons, nous cherchons toujours à obtenir une offre raisonnable dont nous profiterons dans la durée.

Qu'en est-il des aspects environnementaux ?
Nous en tenons également compte. Actuellement, il est beaucoup question de la directive RoHS2, car elle liste certaines substances dont l'utilisation est désormais interdite. Nous y accordons beaucoup d'importance. La législation existe, elle doit être appliquée.